Pour n’oublier jamais

Aujourd’hui est le 65 anniversaire de debloquement du Leningrad (Saint-Petersbourg).

Le blocus a été fait par les armées allemande, finnoise et espagnole pendant la Seconde guerre mondiale. Il durait 871 jours, de 8 septembre 1941 au 27 janvier 1944. L’unique voie de communication passait à travers du lac Ladoga, mais elle était trop petite et elle se trouvait sous le bombardement d’armée assiégeante.

Selon les données différentes le nombre des victimes du blocus est de 400 milles à 1 million des gens. 3 % d’eux sont morts du bombardement, les 97 % ont été assassinés par la famine.

Il y a beaucoup des monuments terribles du blocus – des photos, des lettres, des tombeaux... Mais dans le procès de Nuremberg (1945-1946) on a présenté le journal d’une petite fille qui habitait Leningrad. Elle s’appelait Tanija Savitcheva et en 1941 elle avait 11 ans. Dans son journal il y a seulement sept notes laconiques – la chronique des morts de tous les membres de sa famille. Et la ligne dernière: “Les Savitchevs sont morts. Ils tout sont morts. Il a resté seulement Tanja”. Elle est morte aussi en 1944, après l’évacuation, à l’hôpital.

Les pages du journal ont été coulés en béton et sont devenues un monument qui est lié avec la “Fleur de la vie” - le mémorial qui se trouve près du Leningrad et  est consacré aux enfants qui sont morts pendant le blocus. Sur les pétales de la fleur il y a une inscription. Ce sont les mots d’une joyeuse chanson d'enfants: “Que le soleil soit toujours!”